Au sens politique, la foresterie a toujours été plus sociale
que scientifique. Ce constat est aussi applicable aux aires protégées alors que
les principaux défis d’implantation sont souvent sociaux et politiques.
M. Franklin insiste sur l’importance d’établir une gestion
participative avant que les divergences se polarisent. Les acteurs locaux jouent un rôle
clé dans cette gestion.
Il a beaucoup insisté sur l’importance de la foresterie
écologique comme outil de gestion active de la biodiversité dans un contexte de
conservation de la nature.
Louis Bélanger est intervenu après Jerry Franklin.Il a été brillant, didactiue.Citant Henri IV et son fameux "Paris vaut bien une messe" ,il a trouvé ce 19 juin 2013, le résumé de toute cette première étape du projet de coopération entre la France etle Québec visant la réalisation d'une étude comparative des modes de conservation du patrimoine naturel qui peuvent se réaliser dans une démarche d'inclusion des activités humaines.Soit mettre fin aux guerres de religions autour de la question forestière des deux côtés de l' Atlantique...pour qu'un ré-enchantement du monde soit possible.
RépondreSupprimerRobert Lindeckert
Coordonnateur français du projet de coopération franco-québécoise 64-704 sur le biennum 2013-2014