Dans les aires protégées de catégorie V, la restauration des écosystèmes pour améliorer à la fois les valeurs écologiques et économiques est souvent visée. Les forêts de châtaigniers en sont un exemple. Les châtaigniers ont été introduits dans la région par les Romains il y a
environ 1000 ans pour la consommation des fruits. Les peuplements étaient alors gérés en vergers. Cette châtaigneraie est aujourd'hui dédiée à la restauration des peuplements dans un objectif de démonstration de la sylviculture possible en vue de la production de bois, tout en valorisant le patrimoine naturel et culturel cévenol.
Concernant les activités de chasse dans le parc, un plan de chasse détermine annuellement un nombre minimal
et maximal de bêtes à prélever. Alors que les chasseurs ont tendance à prôner une chasse plus conservatrice afin de préserver
la ressource faunique, les agriculteurs et les forestiers souhaitent prélever un nombre plus important de bêtes dans le but de diminuer l’impact de la faune sauvage sur
la régénération végétale.
Depuis quelques années, le loup est de retour dans les Cévennes. Sa présence soulève une forte crainte chez certains éleveurs vis-à-vis de la menace qu’il peut représenter tant pour les troupeaux qu'en raison des inquiétudes de la population.
Depuis quelques années, le loup est de retour dans les Cévennes. Sa présence soulève une forte crainte chez certains éleveurs vis-à-vis de la menace qu’il peut représenter tant pour les troupeaux qu'en raison des inquiétudes de la population.
Paysage typique de la zone cœur du Parc |
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire