Par exemple, nos hôtes ont porté à notre attention la
problématique causée par l’interdiction de chasser pendant
plus de 20 ans dans leur secteur situé la zone cœur du
parc; la surpopulation des cerfs et des chevreuils a eu des impacts sur la
régénération forestière et les grandes populations de sangliers ont été
responsables de dégâts dans les champs où se pratique l’agriculture. Nous avons
pu observer l’effet du broutage au cours d’une randonnée commentée par nos
hôtes au cœur du Bois d’Altefage. Un jugement de la cours a obligé le Parc National des Cévennes à permettre la chasse dans ce secteur.
La France et le Québec s'unissent dans un projet de coopération visant la réalisation d'une étude comparative des modes de conservation du patrimoine naturel qui peuvent se réaliser dans une démarche d'inclusion des activités humaines.
vendredi 14 juin 2013
Protéger sans interdire
Ce matin, monsieur Renaud de Laubespin, membre du Syndicat
Lozérien de la Forêt Privée, et sa fille madame Gilda de Cummond, entre autres
membre du conseil d’administration du Collectif national «Des Racines et des Hommes» dont le slogan est
«protéger sans interdire», nous ont reçu à Grizac sur la propriété familiale
située dans la zone cœur du Parc National des Cévennes. Avaient également été
invités monsieur Jean-Pierre Lafond, vice-président du regroupement des
Syndicats des Sylviculteurs des Forêts Privées de la Lozère ainsi que madame Cécile
Rouvière, une agricultrice de la région. Avec ces gens, nous avons pu aborder
la question des défis qu’impose la réglementation du Parc National des Cévennes sur les activités
des propriétaires privés et des acteurs locaux
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire